Je ne souhaite nullement faire ici une etude pastorale, mais seulement faire une suggestion a ceux qui ont peut-etre, a un moment fourni, espace De surcroi®t qui plus est leurs confessions sans reussir a bien analyser le pourquoi et paraissent dans l’incapacite de reprendre une pratique desormais formelle a cause d’un certain malaise interieur.

Je ne souhaite nullement faire ici une etude pastorale, mais seulement faire une suggestion a ceux qui ont peut-etre, a un moment fourni, espace De surcroi®t qui plus est leurs confessions sans reussir a bien analyser le pourquoi et paraissent dans l’incapacite de reprendre une pratique desormais formelle a cause d’un certain malaise interieur.

Je voudrais proposer une suggestion seulement parce qu’elle m’a ete utile. Chacun procure ce qu’il a experimente de positif. J’me suis demande, ou le Seigneur m’a inspire de demander, lorsqu’une confession courte et a la hate me pesait, pourquoi ne pas essayer en faire plus longue et avec plus de calme. Cela a l’air d’un paradoxe, mais parfois, meme les paradoxes aident a bouger de situations bloquees. Alors, avec l’aide de quelqu’un d’autre, je suis passe en confession a votre que j’appellerais un dialogue penitentiel. Il me semble qu’il s’agit avant bien d’un dialogue avec un frere qui apparai®t comme l’Eglise , donc un pretre, en qui je vois un representant direct de Dieu ; votre dialogue fait en priant ensemble, dans lequel je presente ce que je sens en moi, ces jours-ci : J’me presente tel que je suis, devant l’Eglise et devant Dieu.

RECONNAITRE CE QUI ME DONNE LE BONHEUR.

A mon avis, votre dialogue comporte essentiellement 2 parties : la premie re que j’appelle « confessio laudis », c’est-a-dire confession d’apres le sens primitif du terme. La aussi, on peut partir d’un paradoxe : s’il est chaque fois si penible et si difficile de dire mes peches, pourquoi ne point commencer via des bonnes actions ? Saint Ignace lui aussi le suggerait dans les installations, prenant comme premier point l’action de graces (Ex. SP. n°43) : Seigneur, je veux d’abord te remercier parce que tu m’as aide, telle chose a eu lieu, j’ai pu me rapprocher de telle personne, je me sens plus serein, j’ai depasse un moment complexe, j’ai pu mieux prier. Remercier Dieu de votre que j’suis, de le don, sous forme de dialogue, de priere, de louange ; reconnaitre cela dorenavant, devant Dieu, me donne le bonheur : je suis content de telle ou telle chose, passee ou montre. Il est important que ces choses emergent devant le Seigneur : la reconnaissance de sa bonte Afin de nous, de sa puissance, de sa misericorde.

RECONNAITRE CELA ME MET MAL A L’AISE.

Ca fait, on peut passer a une « confessio vitae » que je definirais comme ceci : plus qu’une recherche et qu’une enumeration de peches formels, c’est-a-dire devant Dieu cela maintenant me met mal a l’aise, votre que je voudrais faire disparaitre. Souvent, votre paraissent des attitudes, des facons d’etre, plus que des peches formels, mais au fond nos causes sont nos douze attitudes que repertorie saint Olivier (Mc 7,21) : orgueil, envie, cupidite… qui emergent dans ces etats d’ame.

Ou encore, je dirai devant Dieu : je regrette de ne pas pouvoir parler sincerement avec telle personne, mon rapport n’est nullement authentique avec tel groupe, je ne sais par ou commencer. Je regrette de ne point reussir a prier, je me sens mal a l’aise d’etre commande via ma sensualite, par des desirs que je ne voudrais jamais avoir, des fantasmes qui me troublent. Je ne m’accuse peut-etre d’aucun peche en particulier, mais J’me mets en face du Seigneur et lui demande qu’il me guerisse . Cela ne s’agit pas vraiment de mettre sur la table trois ou quatre peches, Afin de qu’ils soient annules, mais d’une immersion baptismale dans la puissance de l’Esprit : Seigneur, purifie-moi, eclaire-moi, illumine-moi. Je ne reclame jamais juste dans une telle confession, que soit annule tel ou tel peche, mais que mon c?ur soit change, qu’il y ait en moi moins de lourdeur, moins de tristesse, moins de scepticisme, moins d’orgueil. Je ne sais peut-etre par ou commencer, mais je mets tout i§a dans la puissance du Crucifie et du Ressuscite par la puissance de l’Eglise.

De la, nait bbpeoplemeet une priere lequel pourra etre faite avec le pretre : on peut reciter votre psaume, une priere d’la Bible, de remerciement ou de demande, ou meme une priere spontanee concernant laquelle une absolution sacramentelle vient comme la manifestation d’la puissance de Dieu que je demande parce que je ne suis pas capable de m’ameliorer sans elle. Je me remets un coup encore sous la croix, sous votre puissance qui m’a baptise pour qu’une fois i  nouveau elle me reprenne pose i  ci?te.

UN DIALOGUE PENITENTIEL

Voila ce que j’entends par dialogue penitentiel : votre n’est pas seulement 1 dialogue psychologique, ou une sorte de therapie. Cela n’est nullement necessaire que le confesseur me revele des sources secretes de faire mes fautes : i§a pourrait aussi avoir lieu avec 1 specialiste du c?ur humain, mais meme si le confesseur est une personne qui ne sait nullement grand-chose du c?ur humain, il est en mesure de i  chaque fois prier me concernant, sur moi et avec moi. Cela s’agit de se soumettre a la puissance de l’Eglise et donc de retrouver Notre valeur du sacrement : je vais me confesser non pour sentir des choses interessantes ou pour voir quel conseil, on m’a donne, mais parce que c’est moi qui dois me soumettre a Notre puissance de Dieu, ainsi, cela me suffit, me procure le bonheur et Notre paix. C’est donc, avec de multiples variantes possibles, une suggestion que je souhaitais vous donner. Il va i?tre clair que, de cette facon la confession peut durer un moment, mais on l’affronte plus volontiers car l’on voit votre qu’elle signifie au sein d’ son chemin par Dieu. A tous d’entre vous, le Seigneur aura probablement suggere d’autres formes qui pourront etre communiquees utilement en tant qu’experiences, car elles pourront en aider d’autres.

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